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Zoom sur le syndrome de Noé : quand l’adoption d’animaux devient obsessionnelle !

Publié le 2021-12-25 dans Syllogomanie

Pour les professionnels des débarras de maison, l’intervention dans des habitations de personnes souffrant de syllogomanie fait partie du quotidien : nous aidons les individus qui entassent compulsivement des objets à repartir de zéro, en retirant de leurs espaces de vie tout le superflu (emballages, papiers, cartons, boîtes, meubles cassés, appareils qui ne fonctionnent pas, etc.). Parfois, nous devons faire face aux conséquences d’un autre trouble psychiatrique assez proche, le syndrome de Noé. Ici, la problématique ne tourne pas autour d’objets, mais d’animaux : les conséquences peuvent être dramatiques pour les malades qui ne sont pas pris en charge.

Les victimes du syndrome de Noé n’adoptent pas toujours des chiens ou chats
Les victimes du syndrome de Noé n’adoptent pas toujours des chiens ou chats

Comment reconnaître le syndrome de Noé ?

Les animaux des victimes du syndrome de Noé vivent parfois dans des conditions désastreuses
Les animaux des victimes du syndrome de Noé vivent parfois dans des conditions désastreuses

Très concrètement, un individu atteint par le syndrome de Noé vit avec beaucoup trop d’animaux : ils sont si nombreux que l’on en vient clairement à manquer d’espace dans la maison. Les conditions de vie, aussi bien pour les chiens ou chats (par exemple) que les humains, deviennent de plus en plus insupportables. Et si la personne vit un état dépressif en parallèle de sa propension à adopter toujours plus de chiens, chats et / ou rongeurs, elle risque aussi de délaisser l’hygiène de ses pièces de vie, voire parfois de ne pas prendre suffisamment soin de ses petits compagnons (par désespoir, ou simplement parce qu’ils sont trop nombreux pour leur accorder toute l’attention qu’ils méritent).

Même face à l’évidence (elle a trop d’animaux qui cohabitent chez elle, cela devient dangereux pour tous), la victime nie avoir un quelconque problème. Et surtout, elle refuse strictement de se séparer d’un seul animal, allant jusqu’à faire une sorte de déni : elle se persuade qu’elle est normale et qu’aucun de ses comportements obsessionnels n’est pathologique.

Selon une étude australienne réalisée en 2008 et baptisée « Pathological Hoarding » (terme anglais pour désigner le syndrome de Noé), la maladie touche majoritairement les femmes vivant seules, au-delà des 60 ans. Malgré tout, elle peut se déclencher chez d’autres sujets, hommes, femmes, y compris chez les plus jeunes.

Pourquoi faut-il s’inquiéter face à un syndrome de Noé ?

Aider une victime du syndrome de Noé, c’est aussi aider ses animaux
Aider une victime du syndrome de Noé, c’est aussi aider ses animaux

Étroitement lié à la syllogomanie, le syndrome de Noé repose aussi sur une forme d’accumulation compulsive. D’ailleurs, il est parfois associé à des problématiques que l’on trouve chez les syllogomanes, telles que la difficulté à se séparer de certains objets, notamment ceux utilisés par les animaux (mais pas que).

D’une manière générale, ce trouble psychiatrique révèle, comme la syllogomanie, un profond mal-être, un état de solitude et de tristesse et même un repli sur soi plus ou moins important, selon les profils. Si la personne qui en souffre reste seule et que sa maladie n’est pas prise en charge, elle risque de continuer à prendre d’autres animaux chez elle, et la situation peut progressivement s’envenimer, jusqu’à devenir réellement critique.

Il est très difficile de se sortir seul d’un trouble de l’accumulation compulsive : les sujets concernés doivent généralement suivre des thérapies pendant plusieurs années avant de se considérer comme définitivement guéris. En toute logique, il faut les aider le plus tôt possible quand on décèle un problème, afin de maximiser les chances d’aboutir sur un rétablissement complet.

Comment agir face à un malade qui ne cesse d’adopter des animaux ?

Trop d’animaux, ce n’est pas toujours souhaitable dans une maison
Trop d’animaux, ce n’est pas toujours souhaitable dans une maison

Si vous voyez que l’un de vos proches ou amis s’entoure sans cesse de nouveaux lapins, cobayes, souris, chats ou même chiens, vous devez l’aider : il en va de sa santé et de celle des compagnons qu’il adopte ! Essayez d’engager le dialogue de la manière la plus sereine possible, sans l’accuser et sans émettre de jugement. En effet, votre interlocuteur risque de se mettre en colère si vous associez son comportement à une maladie ou à un problème, parce qu’il vit probablement dans le déni.

La meilleure solution reste donc d’endosser la casquette d’un complice, d’une personne à l’écoute capable de voir que quelque chose ne tourne pas rond. Vous pouvez commencer par lui dire, par exemple, que vous le trouvez un peu triste, mal dans sa peau. Demandez-lui s’il a le moral, s’il se sent bien dans sa vie : il parviendra peut-être à vous avouer qu’effectivement il est malheureux, qu’il n’est pas toujours très gai au quotidien.

Essayez d’encourager votre interlocuteur malade à se rendre rapidement chez son médecin traitant, afin de faire le point sur la situation. Si vous ne le sentez pas capable d’aller à ce rendez-vous seul, n’hésitez pas à lui proposer votre accompagnement. Ce premier pas sera l’occasion de faire le point sur la situation, et de mettre en place un parcours de soin adapté (psychologue, psychiatre, assistante sociale, etc.) en vue de se donner toutes les chances de remonter la pente.

Quand et comment organiser le débarras de la maison ?

Afin de maximiser le potentiel de guérison et d’éviter les problématiques de rechute, il faudra à un moment retirer tous les éléments qui encombrent inutilement la maison, et confier la garde d’une grande partie des animaux à d’autres personnes.

Contrairement à la syllogomanie pour laquelle il suffit de trier les déchets et objets pour donner, vendre ou envoyer en déchetterie, il faut ici se mettre en relation avec des familles ou associations en mesure d’accueillir les animaux. N’hésitez pas à vous renseigner : il y a certainement une SPA – et d’autres organismes dans le même univers – dans les alentours !

Une fois que l’état psychologique du malade s’est amélioré, on peut envisager une séparation avec les animaux, puis un débarras des objets accumulés compulsivement. Il faut au préalable se mettre d’accord avec le malade : on peut choisir de garder quelques animaux dans la limite du raisonnable, ne pas tout jeter le matériel.

Mais il faut réaliser un grand ménage pour repartir sur de bonnes bases. Alors dès que vous avez trouvé une solution pour les compagnons à quatre pattes de votre proche, rapprochez-vous d’une entreprise de débarras de maison qui se chargera de l’aspect matériel de la problématique. Nous pouvons venir retirer tous les encombrants, vendre ce qui a de la valeur à votre profit, donner les éléments encore utiles à des associations et effectuer un tri minutieux de tous les déchets.

En mêlant prise en charge adaptée et débarras complet, vous offrez à votre ami ou membre de la famille atteint du syndrome de Noé toutes les chances de guérir et de repartir enfin sur de bonnes bases.

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